xt7n5t3g229d https://exploreuk.uky.edu/dipstest/xt7n5t3g229d/data/mets.xml Poujade-Ladevèze, J. H. Alexandre Dupré France Poujade-Ladevèze, J. H. Alexandre Dupré 1796-12-13 This bulletin is part of a collection of newspapers and journals published during the French Revolution, collated by unknown person, representing both sides of the revolution. Call Number Rare Books: AP20 .R235 bulletins Rare Books: AP20 .R235 French De l'imprimerie de LE NORMONT, rue Des Prêtres S. Germain- l'Auxerrois  This digital resource may be freely searched and displayed in accordance with U. S. copyright laws French Revolution publications France. Assemblée nationale législative (1791-1792) France -- History -- Revolution, 1789-1799 Le Véridique ou Courrier Universel, 13 December 1796 text Le Véridique ou Courrier Universel, 13 December 1796 1796 1796-12-13 2023 true xt7n5t3g229d section xt7n5t3g229d 11% 36
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EM

LE VERIDIQUE

or! COUREER

Du 25 FRIWAIR'E , an 5°. de la Républiquc frangaiao.
(Mardi 13))1'2cnzmme 1796, vieux aty‘e. )

UNEVE;RSELZ

 

W '
(chL-‘RE VERL’M QWID VETAT Pa)

«um. . . ., -. ..

 

 

lei/re du général Alvenzi sur un. combat [iuré (‘L Buona/mrle. — Bulletin du siege da Kalil. ——~"O.’).ser5’étant ava'tcé s_nr Villanova , l’ennemi

. n! az'uvw' r sur—‘c-rhump dcux divisio Is 5 ur la mantagne

n-u LP 12.5111ui h”uz‘95 du ma'in , none posiLion

1 11 WW] .e" sur tuus '»5 points awe law! ”Ernpétuosilé

* Ct tl'urdvur. qu' mus nations élé infailixbl mentrc-
'P'Vl" 5 “' was {tomes n’oussent opsecé um courage
..}v. L’aetiow fut .165 plus sangldntvs (rt du 21 WS-
J bxen a 'un[ dam 3:: Huh ; a'xors V1 nntmi so VOVant
Mill'- "u point d‘éfire aliuqué dams so:1flem-,se retira :wec
.pr ignition. Nona amns fail nrisumicr un zénéral ,.
" 8L, aim); on: étf- b CNS -5; no 15 n’mvons encor' :mmm
(1cm: virconstancfév'zes pix-{es )‘écipvotlllc>; mnis aprés
11.1 Lxmbu aussi ob tiné , CUP doit étrc Cunaidérable

vpou mus ct encore p3ua pour l’mnerni.

REPUBLIQUE FRANQAISE.
Strasbourg, 17 fi-imaire.
‘0 ‘ . 3t tranq-xllle it Huningne , N H paro’if que 16
.V (117‘ meet-s at” 1:1 dcrniére afi‘uu'c a (lé5ofilé l’enne-
: 1m {1 .me north lie altaquc.
J'Nm‘ii, 51 JR heurcs du mn'in,i1r1 réitfiré 5:1 sommzt—

by. 1111:; ussxmfi Q0 rendrc Z’Lehl 5 say 12; réponse négu'

any

(ivc , i1 .1 commcna'é un fcu terrible (lui a c0:1’inué nuit
ct jour ju¥qu’£t cc moment.

()n avail f'aitcnurir le bruit qua 1e gém’rml 1(1i‘b61‘
avail pasn’: lc Rhin 51 O >penhvim, CL qua 11‘s auhichims,
aprirs avoirfitit un dunicr (If r1, Vouiokn‘ (L01 nyer
secréicumflLCws bru sse so‘li l nuvéa faux; ct mime
du luncii au nmrli i1 3 a cu dmx mtdqurs qui, ii. 33. N:-
ri€é,11’r7-H cu aurun :: uh -

Le [mi 1 augments ch ue inn": 16 :0le: o {T e b-‘aauo
coup ; 1- s ‘ié m‘txons 6015i i. I; lrsuutvixhrns Chian-
1r'2‘.l€.~.1..u.\, fore-:95 par 121 mE-b‘”. ma' 1‘5: l’a‘xac‘itule
aW’c {alluelle il ~ont.~.-..rvc h a. 1‘ :wud 61 arrive tous
les jours r’vs ava'H—pos Cs , an: Ex" hr '1" 12 3120.

Her , l’uxlixcmi :1’ 5!. (m '1‘ ' u‘un * is'e , entre DIaflon
c! Kehl , of) i1 y nvoit dcux’ campagnfis (‘I (1‘)le canons
quisont ausai lombés entrc 5c: unins : 1.; Rhin é1ant
for: has , on pouvolt [)RSS“1“1AL\YIS C(‘HC is‘c 51 p'wi s c.

Les Frnnqa s onlfurlifié um nutre He au-dc 50.15 du
px):1i,<‘t!7uzl gamin (l’sm obusiwrs ct cinq morti' rs qxi
font un ("u Hen-wt:

L’: JmCdn 3 mm entre Seu'ham etKehl une nouvclla

batt'flin: 5 unis eile 1‘51: de pcu d’cfl'et.

P A R I S, 29. frimnire,

On avoit aft 1"" IVL (15» S 33! fl, vuit rcvenir 21 Paris ,
avec lc titre d’nnbnssqdeur xi Sufnle. 'Wnis on sait aur-
jour‘i’hui qne I"(=:t M. K621i? ‘gui rln't Iv I‘f‘lixp'flCCI‘ , avec
la modeste qua'i‘é dc c/largu' r/‘aff‘aire.. M. (1-,) SL161 est
ra‘znvrcié. Amsi nous voil . dé].\' c ’UHr'gnnte famine
du célébrc génmrois. Gr-Am’s ,oi n‘ rrn ‘u s rm direcloire
qui nvdit, dit-on , pr'u‘ M. de 8!: ‘c' , i‘: n y a pas trés—
lung th5, (16 quittm‘ Paris, ('2 (1in n’a H‘mo‘zgné aucun
déaird’yrvvoir 16: dcnx (pa-‘1 C’ at dwnr‘. v‘nin ment
q H! M. lc baron de Smél s’wrt mozztzé 3 Ya mn‘ :nfion 1e
5 p airial , armé ”fun largo. saiw“, pm}? 21 {Prailler punt
01%). L": hmu boqquet dent mm‘sunw In human? para sun
89in on aigne (1» win linsuwc, 101%] up In papulm 9 icon»
doit 1e chfitr‘au dc VCI‘JniHK‘S ct y E11503: couler Is. sang 3
an mois d’oclobre ; {es :ranspo‘s dc pie qu’ellc fit éclater
£1 l‘époque do In pr.~c 1!:1 fort dc QJIbr-i‘fm 3 lo trailé su-i
bhme qu’eue avuit wuuuencé sur lee “passions ‘ et que
ses amis assuxoiem no youvpir em: achc‘vé qu’b Paris ;

 

 (a)

rien n’y fait. T a voilii confininnée El passer 5:1 Vic 21 (Janet ,
on ulle va ennuyer le grand homme du récit do an gloire
ministériclle , et de la prospérité quc ees grandee concep—
tions ont versé sur l’Europe.

La pauvre baronnu a été (legue par le succes (lu baron
dc Copct. Chassé du minislére , et voyant qu’on avoit
l’ingrzititude de l’oublier , illit , en 1798 , un épnis et
lourd volume , inlitulé dds opinions rel giruscs , fine
58 rappeler £1 la. mémoire dos fixineais. Il fut ellizcliv’e—
ment rappellé nu minister-e des finantes par le monarq-ic
franeais , et enterra tres-habilement lcs finances , le
minislére , lc monarque ct la. nionurohic.

Sn fille a pcnsé aussi qu’nn livre pourroit snflirc pour
la raniencr en France , oil les livres faisoient tout
autrel'ois.

Maia l’orlre du destin qui géne nos pensées
N’est pas toujours écrit dam les clioses passées;
Quelquel‘ois l’un ae brise on l’autre s’est sauvé.

Le livre do madame la baronne a fait biiller en
France, et la laiasera bailler it Copet.
W—
Lettres d’Emund Burke sur les ne’gosiations depaz'x ,-
Volume de 210 pages.

Nous ne dirons rien de la burlesque preface ni des
notes du trnlucteur quiexalte nolra sa'l‘esse acme”.- , et
félicite la France cl’avoir déuoré [as ruis, duns nu mo-
ment on cllc désire la mix avec les rois. Nous ignornns
si ce traducteur a prétendu qua sa démagogie hit on
passe—port on we contro—poxson; nous no nous oqcuperous
qua. dc l’ouvrage , et nous nous bornerons ii on dormer
unc analyse (lénuée de critique et d’éloge.

L’ziuteur commence par établir que l’Angleterre n’a,

as besoin do la. paix ; que la France , trep méprisée
cl’abord , est trop redoutée aujourd’hui ; que jamais 1a
Grandc-Bretagne ne fut plus riche ni plus puissante;
quc le papier de la banque est au pair de [’01- et souvent

référé it l’or ; que la France laissc déja voir des symp~
tomes de laséitudc.

Que le fe-u de l’insurrection agitc lea cntrailles de
I’Angleterre; que si 53. force expansive dart en ce mo-
ment , elle éclatera ayes violence des que la communi-
mcation scra ouverte-entrc les deux etats; que notre
eystémc républicain est un géant qui liranchit tl’un pas
lo canal. (: [l a , tlit-il, un pied sur notre rive , l’autrc
» sur unc rive étrangere; avec l’avamdge d’unc pa-
)1 reille position , il suflit qu’il exists pour qu’il
p lriomplie. )1

Que notrc politique , en paix comme en guerre , est
de sépartr le peuple de son gouvrrnrment. Que dans une
declaration. ministérielle publiée 2'1 ilambourg , il nous
avoit plu d’allirmer que la guerre , du cété des anglnis ,
p’toit um: guerre (L? gozwumement (‘L laguelle lepeuple o’é-
{nit (lrws tous les- tel/ls appose’. Que nous avions énoncé
lurniellemcnt que nous ne/érions 1a paix, qua lorsgue
pus cum misxmraieutréduits £1 [’illzpltis.san ce (lepuursuivra
Irurs p/ans crimizzc ’s. u Ce qui veut dire en bon anglais,
1, comma en boa frangais , lorsqu’ils nous auront mines
;; sans relour. n

Que nulrc actc constitutionncl nous defend de resti—
iu-‘r les conquétcs que nous avons jugé convcnalflc d’in-
gurpirer a metre tcrritoire , ce qui signil‘ie quc nous

sommcs puissans pour usurper, impuissans é “mire.
Que conscntir 31 la paix , en cherchunt une garantic 312m;
notre générosité ct non daus son courage , cc stiroit de
In part do l’anglais u remettre .‘1 l’liumanité at 31 la lui-r6:-
txon (lea rigicides le dépot de la monarcliie anglane,
livrer sa religion aux soins pieux d’un :ttlu’m , con-
licr ses jours in des assassins , so. propriété £1