xt77m03xwm13 https://exploreuk.uky.edu/dipstest/xt77m03xwm13/data/mets.xml  France  1793-04-22 This bulletin is part of a collection of newspapers and journals published during the French Revolution, collated by unknown person, representing both sides of the revolution. Call Number Rare Books: AP20 .R235 bulletins Rare Books: AP20 .R235 French   This digital resource may be freely searched and displayed in accordance with U. S. copyright laws French Revolution publications France. Assemblée nationale législative (1791-1792) France -- History -- Revolution, 1789-1799 Vedette; ou, Gazette Du Jour, 22 April 1793 text Vedette; ou, Gazette Du Jour, 22 April 1793 1793 1793-04-22 2023 true xt77m03xwm13 section xt77m03xwm13 : un deg

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~ j-v-zs. v.- me)» An «-2~« ,

F R AN e; A 1 s , de grands événernc—ns
ue is vols, tout ce que fermends , int 13 champ ,
:lécouvrirez , ce que vous apprendrez ,

-:—¢-v-.

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{e 9réparenc; je fins. err: P’edzttc : torn e:
A ;e vous en infinns; ce can: lair

fires—l: mgi {avoir , ic le publie fur l‘henre.

‘ :.»:w.vou.:d..+"a 2 _

   

«'45 .- 1.1».- Inc--

Du Lundi 7.2. ‘Avril 1793.

W

Nouvsnrrs iraANci‘aruzs.

Hanovre, [c 2. avrl1.——Dans un baillage
'du comté de Schaumbourg- Lippe, il y en:
le 16 du mois dernier, une insurreCtion d’une
partie des paysans. Un procés, entre le sei—
gneunduApays etfil‘esv snjers, ccncernanr ccr:
rains impocs exrrg} “,‘XIQH‘ES, av01r éré termzne
2‘1 l'amiable par i'cnucmisc du roi degPrnsse,
comme prince du Minde, et le plus grand
nombre c " ill "‘15 enfuvoient paru conrens.
Mais un '

 

, qu‘l, gr Opinifirreré ou
par l'espér Vite-rude aduréc du procés
ne_voulur ' i; crire , refusa consrammenr

de payer sci‘ inllvgiii'é'; ”er atrendir méme l’exécu-
{ion militaire. Celle-ci vim le 15 mars, forte
de 2.8 hommes commandés par un oflicier,
er trouva, en arrivant , quelques cenraines de
paysans armés de gros batons, qui menacérent
la tron e de la clmsser du village, er cle sa‘
crifier feur bien et leur vie, plurét que de
se soumertre; en un mot, de faire, disoienr-
ils comme on faisoir en France. Tomes les
exhorrarions ayanr éré inutiles, on renforca
le dérachement de 2.0 soldars, 6 carabi ici‘s
er d’un canon. Cela fut le signal. d’un combat:
plus de 600 paysansa armés '.de fourche’s, de

 

 

 

 

faulx er dc massnes , tombent avec furie, sizi-
les soldats, en ruérenr un d’un coup de 1215-
tolet, et en blesserent plusienrs. Denx pnysans
fnrent tués, d’antres blessés. Tom: espoxr' de
ramener le calme , er de faire enrendre ransom
:‘1 ces forcenés, s’éranr évanoui, la tronpe 5e
retira, pour évircr nne nilrérienre efius‘ion de
sang £1 Bnkebourg , 3.11151 qu’elle en avort regu
l’ordre. On attend maintenanr de plus grandes
forces; pour réduire les sujets rubellc-s.

Gcnévc, [e 13 avril. — Quelqu’un avoir
appellé ici un nommé Rotonclo, famenx agi—
tateur de Paris, qui, de concert {wee den}:
31 rrois cents mauvais sujc‘rs , devoi: faire enrrcr
les Frangais, exécmer un pillage, nms_s;1crer
tons les membres des comités, etc. Mais Ro-
rondo aynnr dir imprudemmenr: u- Le cercle
est-i1 assemble? il faut quil le soir pour allcr
balzwer [OHS ccs comizés , 1: il fur saisi er in—
carcéré. Il est dans des angoises inexprimablcs ,
er a promis aux gaulisr er gnich‘etier de time
leur fortune s’ils vonloicnr favorzser 5). fame:
on lui :1 rrouvé 10 mille livres sommnres, er

dCS flSSlgDZIES PONY UHC forte 501111110.
11 y en: 31 l’arrivée de ce Roronrlo dcs Prof

    
  
   
  
 
  
  
 
   
 
   
 
   
  
   
     
   
   
   
   
  
    
   
 
  
   
   
    

    
  
  
    
   
  
   
   
 
   
   
   
   
   
 
 
 
   
  
 
   
   
    
   
 
   
  
  
 

vocations er
bons c1toyens.

FRANCE.

ICE/7's, [e 17 awil. —— L’annc—mi s’est loge
tlnns les bourgs et villages voistns de nou‘e
place: il 5"; conduit cl’une maniére bien dure—
rente que L1 cam vague (letniete. A son nfiproche
les cure’s et vicziitcs constitutionncls rwoient
quitté leurs paroisses , potit’fulr: place aux
l‘rreties re’ftacraires; plusieurs d'eiit't‘eux avoient
meme etc poursuiws, menaces ou massacres
pat ces ptetcndus agnmux d’uujourd’hui, qui
empécheut maintenant ccs demicrs cl’ex;rcer leuts
fonctions tcligicuses. L’ennemi a fair meme
inviter, par (le lmbitans ClLS campngnes , les

ptétres constitutionnels 2i retourner anus leurs'

cures sans cmintc; plusieurs sly sont rentlus,
er ne sont nullement inquiézés. Les paysnns Vo: t
er viennent icrdans les endroits occupes put lts en—
ncmis, sans éprouvet d’empecliement. Un ne
sait que penser de cezte tolerance aficctee.

Les fauxbourgs de la Barre e: (le Notte-,

Dame sont inondés: on ne cmint point l’ap-
proche de l’ennemi dans cette partie- qui avoisiue
la place; mais nous nous attentions :5. un grand
coup monté. Nous croyons ici qu’on attend
d_es vrenforts, des munitions et dcs approvi-
Sionnemens pout le renter. N’importe ce qu’il
arrive, les Lillois périront ou triompheront
en vrais républicains.- i ’ '

Names , [e 16 avri/.—- Des Iettres de cette
ville annoncent que Forage commence enfin 51
32 Cilmer esbfvilles‘ dc Macuccoul et Clisson,
Ies paroisses du Lauroux ec le Pellerin , sont
les seuls entlroits cu il y ait encore des rau-
semblemens. Le general Berruyer, maitre de
Saint-I’lorent, a pris Ch‘ollet , ct nous proniet
le tétablissement Lil] calme clans (ii): 21 douze
fours. Nos grandcs routes sour libres, a 1’6}:—
ceptien do ccile de la Rochelle; les bireiux ite
pcuvent pus descendrc la Loire. On a guillotine
ces jouts detnitrs Gantuy et Cault, chefs dc

bureau de notre Ciéi‘fiffcmcllt. Le sicur Berillais ‘

général des litigaiids,

doit étre éxécutérle—
Infill]. . I

Paris. —~ Nous n’mons pas pu reudre compte ‘

‘5 l
a ‘.'Il\3 acunce tcnuc- ol la commune, le 18 de

c'c 5711215. ll es: néccsgnire cl‘y tevc-nit pout l’inv

l
1

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ngrcssions qui alurmoient tous leS lg:

  

 

, m vi:.mnaemmfiwwawwrl 5' -‘

a“.

 

 

 

   
  

 

tclligence du cle’crct rendu bier i la. convention
au sujet de la muriclpnlité cle Paris.

Le couseil—genéml tie la commune a présenté
comme nous l'avons dit, un plan pour les sub—
sistanccs, clout le Principal moyen étoit cle
lchr le maxim/nu du Pllx du 3min, et de

('0):ch les cultwateurs, labourcurs, a‘ porter

leurs grains an marché. CCCL’C adresse {L éié tort

improuvée, ct on :t decreté

que In discussion
sur les subsistanccs se retort

nu comité d’agti—

'culture, on lcs petitionnaires Scroient iuv1tes

d’assistet; ce (letter :i inlini—mcntdéplu 31 Cliaumet
r-rocurent de la commune, got on rcntlnnt
compte cle la séance a voulu jetter la clefaveur
sur la COHVcIIUOD, en disant que siison plan

avoit été réjette’, c’étOit Lute menée do (are

’ di'oit; il a invite tous Ls membrcs clu conseilu

general (2 re ra'mzir pour mm'er [a peliplcf, et
nope-limit le serment qui avoit (Ste Prété le
10 aout. . -

c: Le tems est arrive, ajoute-t—il de renou-
veller ce serment sacré d’ette tous unis, et (le
montit tous i notre poste, amnr qu’on n’eut
porté la moinilre la moindre atteinte unx droits
(lu peuple; jurons—Ie douc, jurons union, fru—
ternité et proteCtion mutuelle avec 163 settions ,
les sociétés populaires et tour. 1e peuple de
Paris.’ .

Alors 1e conseil—général , par un mouvement
spoutané, se leve et s’e’crie d’une vroix unanime;
nous [a prom. Je demancle njoutele procureur
de la commune, que le conseil—général declare
qzz’z‘l es: an Era; dc revolution rant que les
subsismnces ne seront- Point assurées; que le
conseil—général declare qu’ilmet sous sa protec-
tion immediate, routes les sociétés populaires et
leurs présidens, qui pourroient étre fraypés

'pour leur opinion, qu’il se croita kappa .ors-

qu’un de’ses membres sera nope pour scs op:-
nions, qu’il so ctoira frap'pé, lorsqu’un President
ou un secretaire de soL‘Iété partimique, d’as-
semblée dc scczion ou en un' nibt‘ un simple
citoyen, scront fruppés pour leurs opinionsL— Le
consul general arrete , qn’il est satisfait du

’Compte qui lui est rendu par'le procutcur de

la commune, et adopts a l’unanimite toutes les
dispositions clE‘SOH réqtiisitmre. _
Le ptocuteui; de la' commune :1 cle plus te-

. . _ , , , a H; g ._
quis, et le conseil-genetai adopte Ls auctcs sui

vans. 1°. Que le pieces-verbal de cette séaucc

  

 

 

 

 

   

:1vention

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ton. As, your SC‘L‘VAL' AC AC puns: mix A‘.AA .W'AHHAIAICUL'S.
ENC/1.1.: AL‘ A‘ WAS CW d5 co ICSPOIJJ IIJCCCZA’.’ [CA Ar IFor:
77: A/..A.p....zA. 5AM AA‘AAC: :snnnncnt [ms 611
QLIC’A;111C;(]AAA invite tons Acs AnCA. Antes (Au
CCAASC-AA AA AA A‘ 1.1 A” :‘AAtion dd 1.1 nmjACWA‘A C CACS
(.CAC‘tions, pA'USGUA A WC A; I) flVL‘AA i AAW. convention
AAAW..AOAAAAACW , s~:A‘.A cnvoyé .1 [OLIEAES AC 5 commissions
A-An conscil—généi‘al.

2CLAVALC.

(

35 Le fmncux Francois AAAWWAiste LatisscA ci-
(ACvant Piocuic‘tir (it. 1.1 comm-Ame AA: Lyon, .1
étc COHLAUIE awn: his: A, charge dc A;A‘s (Anus
Aes pA‘Asons A. C: Aabbny'e. 11 est PICVUCI Ll LAC PIA}
varicauon dams scs Aunuions , (AAI'AECAAA‘O’LDCE
les emigrés, en ACAAA‘ A.Aisant AAC-‘AVA‘CA‘ CACS certi—
ficat dC- A‘ésiC‘Acn‘A‘c par LACS LéAiAoAAAs A1 scs gages.

Elk/CC

§ Aime HVAA‘A‘z'uz/zc Vauimr, AAQé (1:247 31‘s,
11C d113, A‘i- AACA-ant- A‘CWAAWA CA 3L155.1C‘DA‘.11211[LAC
dm gens .A A .AAIAAC‘C dc DAAAAAoAAAAA-z, co: AVJ .AAAA‘u A“.
d .1 on tCnn A: zomats dEEAIACL‘ AC1; jams AW‘A‘A: :Aédcns,
on pissAnce (A: WWAAAsicuA‘s pC-A soAAAAAs, AAACz Ae ci—
[oven Imcxcau , [LAXICUI‘AElF, we LAC " Ciéue , d
}2AAA$, ASC' SUCL 'sc ssivemcnt A‘Aisz ACW Citoycn Latin,
tapissiCr, me IVAQA‘AA'ACAatcA, AAes AWAAAAAA_;5 Asn'dausd
OAWcAer par la mcurtre CK: A’AIWEEAAC‘AACW, A21. dissoAuw
IICII de laA rcpA‘Eseutation ImtAOnlAC .5: des soc1é—
res patt‘ioti 1W ES, & Ac A‘étabAAssemcnt AAEAa royauté
cn fiance, 2". d’Cti‘e l’autem de ccs props, &
616 195 :AVOAA‘ tc nus dams A’WAntCmion cAe Ptochuer
Ac létflblASSinlcnt del a royatné en } lclllCe' CA .AAW‘A‘és
AA dccamtion AAAA jAWAAy , a été co: AAAAAAAAACW A An. Amine
dc mort avnnt~hicr 2.0, a minuit& (AC-mi par
le tribunal. IA {1 subA son jtigcmcnt SLIL‘ An Place
(A3 1.1 Réunion.

§ Antoine fem: Clinch: mp,c (Ait SAzinr—Andrc’,
figs CA9 58 ans, AlfztiA: AAe DALLAtbi/ot, distA'AC‘r
du LAInns, cAcpaAtenAcnt do An 5.1AtAWE , Ci L.€VI‘.1.‘[
Aiieui titulnirc du A‘A- -dev:mt PIACLIL‘C de la l‘A‘A—
JAAAA- dc Llisson, (Aépflltfilhtflt AAA: An Loire itrfc—
IAuu‘C, cunmAncu 1". CA CELC A’ta mm (A A211 0AA-
vrage AAAAituAé: mu: «mi: d. [.2 1'. 7er J compose

dams Ae COULI‘AAIC (Ac mars CACIAAACA‘ AAAAAAS ACCUCA
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laureui‘ piovoque an men: As, AA A.W. vioLAAAWCAn
(As p‘A‘opAAEACs, AA Aa dissolution (AA: AA A‘CApACSCAA-
ration natiomlc , e: an ICEAAbAAJSUlnCUC A16 A3.
royauté; 2.0. (A’avoit‘ A‘emis 1C AAA;An'AA.sC‘A‘At ’AVC‘C
25 Alvi‘Cs .1 LA AAmnA'c dun AAAWAnAACW , pouAC AC . A'aii‘e
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sous AAA comm-Anion, den

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1.

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La conventiou improu've la petition de Paris lg'

comma calnmni e use.

.La municipnlité apporte ses regimes; .on y
trouve effectivement la deliberation prise :‘t
l’unanimité par la commune, de se mettre en
état de revolution , et cle soutenir tous les
clubs, 6: d’entretenir une correspondance avec
les 44 mille municipalite’s. Admettra-t—on
les municipaux aux honineiirs de la. seance?
oui on non. L’épreuve est clouteuse, on demancle
l’appel nominal, on )7 plsse, il eroit minuit
passe la plaine, et 1: case droitétoient disparus,
on voyoit encore quelques astres de la. Mom
mgne, les tribunes etoient garnies, la convention
s’est trouvée réduite :‘1 his membtes, dont 159
on: voté pour l’aclmission zl la Seance, et 6
contre. Les tribuncs onr npplnudi avec entltou—
siasme la commune, ses arrétés et le detnier
décret en sa faveur. i

Se’ance du a'ima/zc/zc 2. I avril.

Delaunny le jeune présente l’acte d’accusation
contre Marat, ndopté a une trés»grande ma—

jorité, le decret est alnSl congu : In con-
venrion , aprés avoir emendu le rapport de
son comité de léoislntion, considétnnt que
IVInmt est convaincu d’avoir, dnns ses feuilles,
ptovoqué le meurtre , le carnage, l’avilissement
et la dissolution ‘de la convention , er l’étztblis~
semen: d’un pouvoir destructeut de la liberté ,
tlécrete Marat cl'accumtion, et ordonne qa’il
bCl'a traduit devant le tribunal révolutionnaire.

La convention décrete en outre, que le
present décret sem envoyé sur l’lieure nu mi—
nistte de la justice, et qu’il sera clmtgé cle
rentlre compte (les inesutes qu’il aum prises
pour le faire mettre £1 execution.

Un décret pourvoit aux clépenses des élevts

entretenus par la nation aux écoles militnires.

lies commissaires aux fi'ontiéres du nord écri—
vaitdu 17 nvril, que toutes les frontétes sont
cu em de cléfense,l'cnnemi désesperan de battre

 

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nos troupes, cherche d lea corrompre. Labour:
donnaye éCIlE 2‘: la convention pour se jusrifier
et- réponclre aux inculpations qui lui ont été
flutes. La lettre est renvoyée au comité du salut

public.

Les préttes qui n’out pas prétés le serment,‘
setont transportes :‘t l’isle Saint Vinccent, la.
peine cle mort est décrété contre ceux qui ten-3
treroient} en France.

Une députion de Corbeil, s'étonne que la.
convention ne s’occupe que des sections de
Paris, comme si elles étoient la re'publique ,
et clemamle des peines contre les fermiers
qni ne veulent pas garnir les marches.

Une femme Guillot, demande un sursis
pour l’execution d’un jugement qui condamne
son mari :‘t mort, comme disrributeur de faux
assignarst L’exemple de pareils sursis lui don-
noit l’espoir d’en obtenir un , mais on mpporte
les décrets qui avoient accordé des sursis
et on passe 2‘1 l’ordre du jour sur celui de la
ftmme Guillot.

Une deputation de la commune de Toulouse
admise i la barre, se plain: de la chetré du
bled et demande une taxe uniforme et que tous
les [marches soient approvisionnés. Renvoyé au
comité. On indique mardi pour ouvrirla dis-
cussion sut cet objer.

Le frére cle Lepelletier, présente une petition
deslmbimns d'Auxerre, qui demandent que tous
les Prat-es qui ne sour pas foncrionnaires publics,
soienc rléportés, et que les rebelles a} la loi
soient punis de mort.

Deux militaires admis :‘1 la barre, render-t
comete de la capitulation cle Gruyttembcrg ,
de toute l’évacnntion de presque tout le
Braban , et du retourfi Lille de toutes les
troupes, sans nvoirl perdu ni soldats, ni elm-
penux, ni artillerie. On leur accorde les lzonv
neurs {de la Seance.

 
 

 

 

f‘n ”ouf‘cx'it 5 Paris nu bureau ate Ia‘ Vedette, boulevard cle la porte Sairxt-lh’artinJ 1‘: celle Saint-Denis , N“. g.
14.: ‘,\1‘!‘{(l€: l'abo-memenrefl'ile z-rl.vres pour l’unn—i-e, i; liv. pour fix mois, 7 liv. 10 his pour rrois mois. On
tr. a'abonnei’ pour deux moxs en emtoyant un alirgnat de cent-fols. '